spamm.jpg (58634 octets)

TOTALFINAELFERIES

 KEEP IT BLUE

Erika / Sommaire

Total réclame le remboursement du pompage de l'Erika mais refuse de payer l'enlèvement des déchets.

Le PDG de TOTAL fait mettre en examen une victime d'AZF

Le Château de Thierry / La régate des pétroles / La sécurité vue par TOTAL / Total et la Fédération Française de Voile

Total et le Festival Interceltique de Lorient PubLa précédente vue par Breizh Surfing / Tract celtique

- TOTAL avait refusé 3 fois l'Erika, les 29/12/97 / 23/03/98 / 24/03/98.

- Coût de la fusion Total - Elf : 2 milliards de francs, somme jugée normale pour une fusion à ce niveau par Thierry Desmarest.

- Un million d'euros, 6.5 millions de francs, coût de l'assemblée générale de TOTAL en 2002.

- Quand le prix moyen du baril de pétrole monte de 1$ sur une année, 540 millions d'euros rentrent par effet mécanique dans les caisses de Total.

~~~~~~~~

Naufrage de l'Erika: annulation de six arrêtés municipaux pris contre Total
 
24/06 afp  Le tribunal administratif de Rennes a annulé jeudi des arrêtés
pris dans six communes du Morbihan qui avaient exigé du groupe TotalFinaElf
l'évacuation des déchets liés à la pollution de leur littoral après le
naufrage du pétrolier Erika en décembre 1999.

Les maires de Saint-Pierre-Quiberon, Plouharnel, Locmariaquer,
Saint-Philibert, Muzillac et La Trinité-sur-Mer avaient tenté en février et
mars 2000 de contraindre le groupe, affréteur de l'Erika et propriétaire de
sa cargaison, à transporter le sable souillé.

Devant le refus de TotalFinaElf, les municipalités avaient effectué
elles-même cette opération, mais avaient enjoint ensuite au géant pétrolier
de prendre en charge les frais des opérations.

Trois sociétés du groupe mises en cause avaient saisi le tribunal
administratif de Rennes en estimant que ces arrêtés municipaux
contrevenaient à la loi du 15 juillet 1975 sur les déchets.

Le tribunal a suivi l'avis du commissaire du gouvernement, qui avait
notamment estimé lors de l'audience le 27 mai que la transformation du fuel
en déchet relevait de la responsabilité de l'armateur, et non de celle de
l'affréteur.

haut de page /// Erika